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L'Espérance qui fait vivre- 11-11-2013- Intervention catholique |
Commémoration interreligieuse à Cergy. Lundi 11 novembre 2013
Intervention du Père Olivier Ségui. L’espérance qui fait vivre…
A partir du récit du Livre de la Genèse, chapitre 8 : 06 Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre de l'arche qu'il avait construite, 07 et il lâcha un corbeau ; celui-ci s'envola et revint en attendant que la terre soit redevenue sèche. 08 Ensuite, Noé lâcha une colombe pour savoir si les eaux avaient baissé à la surface du sol. 09 La colombe ne trouva pas d'endroit où se poser, et elle revint vers l'arche auprès de lui, parce que les eaux couvraient toute la terre ; Noé tendit la main, prit la colombe, et la fit rentrer auprès de lui dans l'arche. 10 Il attendit encore sept jours, et lâcha de nouveau la colombe hors de l'arche. 11 Sur le soir, la colombe revint, et dans son bec il y avait un rameau d'olivier tout frais ! Noé sut ainsi que les eaux avaient baissé à la surface de la terre. 12 Il attendit encore sept autres jours et lâcha la colombe, qui ne revint plus. [13 – 19] 20 Noé dressa un autel au Seigneur ; il prit, parmi tous les animaux purs et tous les oiseaux purs, des victimes qu'il offrit en holocauste sur l'autel. 21 Le Seigneur respira l'agréable odeur, et il se dit en lui-même : « Je ne maudirai plus jamais le sol à cause de l'homme. Les pensées de son cœur sont mauvaises dès sa jeunesse ; mais plus jamais je ne frapperai tous les vivants comme je l'ai fait. 22 Tant que la terre durera, semailles et moissons, froidure et chaleur, été et hiver, jour et nuit ne cesseront jamais. »
Situation du texte : catastrophique moment d’une humanité en perdition, qui n’a plus de repère sur terre (déluge), ni dans le ciel. Il faut alors l’espérance d’un homme, Noé :
Conclusion : une agréable odeur se dégage, une promesse divine s’énonce, une éternité prend place.
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